vendredi 17 août 2012

Du Blues, encore du Blues !

I've got the Blues

Où l'on peut voir et entendre les excellents participants de Chicago Blues : A Living History, avec John Primer, Billy Branch, Billy Boyd Arnold, Lurrie bell, Matthew Skoller, Billy Flynn, Felton Crews, Kenny "Beedy Eyes" Smith, Johny Iguana,
On retiendra la prestation de Sting et celle de Hugh Laurie.

 
Une vidéo de Julien Pascal



Catherine Ringer à la fête du Cognac le 26/07/2012

Un concert de feu où les Rita n'étaient pas loin !

jeudi 16 août 2012

Deux soirées magiques autour de Souad Massi

Avec Danielle et Ziane
Après des années de correspondance Internet, unis par l'adhésion au travail de Souad Massi, nous nous sommes (re)trouvés en Charente pour un Week-end fantastique. Il en reste des traces et notamment celle-ci, grâce à Danielle et Ziane que vous pouvez retrouver sur Zianeb (You Tube). Comme quoi la technologie permet aussi des moments de bonheur intense. Sachons les saisir ! Merci à Souad de nous avoir réunis.
 
 

mercredi 8 août 2012

Pantaroual inventé par deux artisanes constantinoises

Une originalité à part entière

le 03/12/2011 | 1:00

Elles sont toutes les deux architectes de formation et ont une autre passion en commun : celle du vêtement. Elles sont à la tête d’une petite entreprise baptisée Pantaroual.

Lors du Salon international de l’artisanat traditionnel qui s’est déroulé du 24 au 28 novembre dernier au palais des expositions à la Safex, à Alger, un stand a particulièrement interpellé les visiteurs. Il s’agit de Pantaroual, un nom qu’avaient choisi Asma et Salima, deux créatrices venues de Constantine pour nommer leur entreprise. Spécialisées dans la confection de «tenues algériennes», ces deux architectes de formation, que la vie professionnelle a réunies, ont fait de l’artisanat une autre source d’inspiration et d’aventure. Elles ont créé depuis une année leur propre entreprise de fabrication de vêtements. Le temps d’un week-end, elles laissent de côté leur vie d’architecte et se consacrent à leur passion. Ce projet n’est pas le fruit du hasard, mais l’importation massive et le dénigrement qu’ont les Algériens pour la production artisanale nationale les ont poussées à réfléchir sur la faisabilité de monter leur propre entreprise. C’est, justement, de là qu’est née la microsociété Pantaroual.

Un projet qui vise essentiellement à «mettre en valeur l’artisanat, lui-même étant un domaine de pure création», c’est du moins ce que déclare l’une des initiatrices Salima. Elle insiste également sur l’importance de créer un vêtement spécifique : «Nous nous basons dans nos modèles sur la diversité culturelle algérienne. Nous essayons à chaque fois de toucher au patrimoine national avec une touche de modernité», étaye-t-elle. Les modèles exposés, notamment ceux que portaient les deux hôtesses, ne pouvaient laisser les présents indifférents à leur charme. Des modèles inédits où la tradition se met au goût du jour. Ce ne sont pas des tenues traditionnelles comme on en découvre souvent, il s’agit là d’habits aussi originaux que confortables.

Des robes, des pantalons (seroual), des gilets et autres vêtements qu’on peut parfaitement porter en été comme en hiver et à toutes les occasions. Il existe des gammes pour des usages différents : pour la maison, les vacances ou encore les petites réceptions. Un travail soigné dont le but est de créer «un vêtement identitaire et spécifique à notre culture algérienne et à travers lequel toute femme peut afficher son appartenance et marquer sa présence sans complexe», explique-t-elle. Et d’ajouter : «Moi-même, je porte mes tenues en toute fierté quand je suis à l’étranger.» Les deux artisanes réalisent un modèle unique et exclusif. «On ne peut jamais tomber sur deux modèles identiques, c’est aussi ça l’avantage de l’artisanat, contrairement à l’industriel», témoigne Salima. Pour le choix des matières et des couleurs, les deux créatrices s’inspirent de leur état d’âme pour réaliser un quelconque modèle. «Un vêtement est beau par sa découpe, sa couleur et le choix des matières».

Les deux comparses et complices sont sensibles à toutes les couleurs et aux matières ayant des vertus climatologiques telles que le lin et le coton. Des textiles qu’on ne trouve pas facilement sur le marché algérien. Il est toutefois regrettable de ne pas pouvoir exploiter les tissus nobles dont regorge notre pays, notamment dans le Sud. Pour leurs projets futurs, Asma et Salima caressent le rêve d’ouvrir leur propre boutique dans leur ville natale, Constantine, devenant ainsi totalement indépendantes. Un espoir qui tarde à se réaliser faute de moyens, mais l’ambition reste toujours présente pour ces deux passionnées de couture.

 

Yasmine S.Z.

lundi 6 août 2012

Souad Massi au Festival Les Escales à Saint Nazaire le 04/08/2012

La Balance à 21 h 30
Le spectacle
Il manque la fin du spectacle. J'ai surestimé les capacités de stockage de mon I Phone...
Rabah avait la permission de s'absenter du spectacle pour accompagner une autre chanteuse Algérienne.
Jeff et le bassiste Guy N'Sangué se sont chargés de mettre le feu avec une Souad ravissante et déchaînée.

Saha à tous !

lundi 30 juillet 2012

dimanche 29 juillet 2012

jeudi 26 juillet 2012

Centenaires des ponts de Sidi M'Cid et Sidi Rached - 19 avril 1912 - 19 avril 2012 : Lahcène Akacha

Centenaires des ponts de Sidi M'Cid et Sidi Rached

 
Lahcène Akacha
Lahcène, photographe de talent et Universitaire à Mentouri de Constantine a eu la gentillesse de partager ce diaporama avec moi. C'est superbe, émouvant, à l'image de notre belle ville de Constantine. Il figure parmi d'autres superbes diaporamas de Cirta, pour notre plus grand plaisir.
Bon visionnage !

Centenaires des ponts de Sidi M'Cid et Sidi Rached - 19 avril 1912 - 19 avril 2012 : Lahcène Akacha

vendredi 20 juillet 2012

Nouvelle lettre ouverte à Monsieur le Président de la République Algérienne

Ce courrier est arrivé à son destinataire
et j'ai décidé de le rendre public...

Comme il ne faut jamais baisser les bras, à l'occasion du Cinquantenaire de l'Indépendance Algérienne, je m'adresse à nouveau au Président de la République Algérienne.
J'espère que le dossier avancera et que tous ceux qui comme moi revendiquent la Nationalité de leur pays, y trouveront un espoir.

Constantine : le pont Sidi Rached

08/07/2012
Pascal Jean-Michel   

France

À

Monsieur le Président de la République Démocratique Algérienne
El-Mouradia 16000 Alger Gare
Copie à

Monsieur le Ministre de la justice
Ministere de la justice
8 place Bir Hakem, El-Biar, Alger
et
Monsieur l’Ambassadeur d’Algérie
50, rue Lisbonne
75008 Paris
3 pièces jointes :


1.      Déclaration des membres fondateurs de L’Association Nationale des Pieds Noirs Progressisteset leurs amis

2.      Attribution automatique de la nationalité algérienne à tous les natifs non musulmans d'Algérie ainsi qu'à leurs descendants (http://dalgerie-djezair.viabloga.comhttp://dalgerie-djezair.viabloga.com/news/attibution-automatique-de-la-nationalite-algerienne-a-tous-les-natifs-non-musulmans-d-algerie-ainsi-qu-a-leurs-descendants)

3.      TEXTE FONDATEUR de D’ALGERIE DJEZAIR (http://dalgerie-djezair.viabloga.com)

Monsieur le Président,
Par courrier du 8 juillet 2006, j’accusais bonne réception de la réponse du Consul de la RADP à Bordeaux (Réf : A/PLIC/06/2005/684//), à propos de ma demande de nationalité algérienne en date du 18 février 2006. A ce jour, je n’ai aucune réponse. Aussi je me permets de revenir vers vous.
Je continue d’espérer pouvoir acquérir la nationalité de mon pays de naissance. Selon l’article 10 du code de la nationalité, l’alinéa 1 précise « D’avoir sa résidence en Algérie depuis 7 ans au moins au jour de la demande. », l’alinéa 2 stipule « D’avoir sa résidence en Algérie au moment de la signature du décret accordant la naturalisation ». J’ai bien compris que je ne pourrai pas satisfaire à ces conditions, dans des circonstances légales.
Je suis né le 25 juin 1948 à Constantine et j’ai quitté ma terre natale en Août 1962. Depuis, j’ai effectué 4 séjours en Algérie. Le premier en 1984, à Alger et Constantine, le second tout le mois de mai 2004 à Constantine puis mai 2005, à Constantine toujours, avec un groupe de « premier retour » que j’encadrai dans un cadre associatif et enfin, très récemment, 3 semaines en septembre 2011 à Constantine.
Passé 57 ans, j’ai pris la décision de demander la nationalité algérienne, car je considère que ma terre natale est mon Pays et qu’à l’époque où j’ai été expatrié je n’avais pas le choix et, les années passant, il me semble temps de mettre fin à une situation que je n’ai jamais souhaitée et que je ne supporte plus.
À la retraite depuis septembre 2003, je peux à présent me rapprocher plus encore de mon pays et de ma ville, Constantine, je peux enfin venir plus souvent partager la vie de mes frères Algériens.
Avant de terminer ma vie, je voudrais inscrire ce symbole, afin que mes enfants et petits enfants se souviennent que c’est la fraternité qui fait la richesse des hommes et des femmes qui vivent sur cette Terre.
Les non réponses que j’enregistre depuis plusieurs années m’amènent à vous questionner sur la volonté réelle de l’Algérie pour que ses enfants puissent en toute liberté choisir la nationalité afférente à leur sol natal. L’Algérie doit reconnaître le droit du sol tout autant que celui du sang. Je n’ai jamais décidé de quitter mon beau Pays en 1962. Je n’ai fait que suivre mes parents puisque je n’avais que quatorze ans. Pourquoi, aujourd’hui, alors que je suis majeur, en situation de choisir en responsabilité la nationalité Algérienne, je ne le peux pas ?
Dans la situation de tension entre la France et l’Algérie, ne serait-il pas temps que des cas comme le mien soient soumis au débat et constitue un symbole de l’Algérie nouvelle, celle qui va de l’avant, ignore les barrières, reconnaît tous ses enfants en leur accordant s’ils le souhaitent le droit du sol. Quel beau symbole ce serait ! Quelle victoire sur l’obscurantisme ! Quelle belle mesure de justice pour des personnes comme moi qui sont des ALGERIENS-FRANÇAIS.
Monsieur le Président, vous avez le devoir, devant l’Histoire de mener les réformes qui découlent de ces réflexions. Nous, les exilés involontaires, nous saurons aider notre pays, aux côtés de nos frères musulmans
Monsieur le Président, alors que l’Algérie fête à juste titre les 50 ans de son indépendance courageusement et chèrement acquise, ne pensez-vous pas que l’occasion est belle de faire un geste fort, symbolique et oh combien important pour nous, les derniers témoins de cette période qui a laissé tant de blessures des deux côtés ? Nous sommes bien les derniers à pouvoir écrire avec nos frères Algériens, une nouvelle page de cette Algérie nouvelle que nous appelons de nos vœux.
Monsieur le Président, saisissez cette opportunité et vous grandirez l’Algérie et son Peuple.
Monsieur le Président, il est temps d’écrire l’Histoire de notre Pays, l’Algérie, d’une façon dépassionnée, avec la contribution des communautés et des peuples de nos deux pays, dont les historiens des deux rives de la Méditerranée qui travaillent ensemble depuis si longtemps.
Monsieur le Président, savez-vous que nous sommes nombreux à revendiquer cette nationalité Algérienne ? Vous trouverez ci-joint le texte des membres fondateurs du site http://dalgerie-djezair.viabloga.com, auquel ont souscrit de très nombreux Algériens Français. J’espère qu’il aidera à forger votre conviction.
Monsieur le Président, savez-vous qu’il existe depuis 2008 une association des « Pieds Noirs Progressistes » (http://www.anpnpa.org/) ? Prenez connaissance de ses buts, de ses motivations. N’y trouvez-vous pas une richesse, une chance pour l’Algérie ?
C’est avec volontarisme, justice et raison qu’il sera possible de nous éloigner des spectres de la guerre qui a mis trop longtemps à dire son nom. Construisons cette Algérie ensemble, à égalité de droits et de devoirs.
Permettez-moi d’insister pour vous dire combien mon questionnement n’a pas varié et surtout combien ma motivation de devenir citoyen Algérien s’est renforcée, avec plus de force encore à l’occasion des derniers évènements.

Dans l’attente de votre réponse, que j’espère prochaine, cette fois, soyez assuré, Monsieur le Président, de l’expression de mes sentiments respectueux et de mon attachement indéfectible en l’Algérie.