lundi 17 septembre 2012

Du vent dans mes mollets : Carine Tardieu - 22 Juillet 2012

Un film qui fait du bien
 
 
 


Vous prenez 2 petites nanas qui ne mâchent pas leurs mots. Vous y ajouter un zeste de boulettes Tunisienne, une mère juive qui parle en anglais avec son mec pour que son "poids chiche" soit écarté de la conversation. Vous mélangez avec une femme seule qui élève ses deux enfants avec vaillance, mais dans une grande souffrance dont le "radar à mec" lui indique que le mari de la mère de la copine de sa fille (non, je sais que vous suivez...) ne craquera pas tellement il est amoureux de sa femme, même avec son embonpoint, boulettes obligent. Vous ajoutez un soupçon de malice avec la grand-mère peu diserte mais efficace et vous assaisonnez avec une instit qui laisse voir son string à ses élèves. Vous obtenez une petite merveille qu'il serait dommage de laisser sur le bord de la route.
 
Ce film est un vrai petit bijou. Il n'y a rien à retirer, rien à ajouter ! C'est rafraîchissant, drôle à pleurer et en même temps profond. Les acteurs sont énormes, avec une mention spéciale pour les deux petites filles : Juliette Gombert (Rachel) et Anna Lemarchand (Valérie), criantes de vérité. Agnès Jaoui (Colette Gladstein), en mère juive qui nourrit sa famille aux boulettes tunisiennes et aux cornes de Gazelle, est étonnante au physique comme dans le jeu. Denis Podalydès (Michel Gladstein) est somptueux. Isabelle Carré (Catherine) est touchante et très juste dans sa souffrance de femme seule. Judith Magre (la grand-mère) ne parle quasiment pas, mais en dit beaucoup.
 
 


 Carine Tardieu a un talent fou et doit certainement avoir une mémoire étonnante de son enfance. La direction d'acteurs est formidable et les dialogues sont ciselés. Ils ne tombent jamais dans la vulgarité et sont irrésistibles.
 
 
Carine Tardieu pose bien le problème de l'usure du couple, sans pathos et avec tact. La rencontre des douleurs des deux femmes (Colette et Catherine) sonne juste et est traitée tout en délicatesse.
 
La réflexion sur la mort, si délicate avec des enfants, est formidablement bien menée. Elle correspond tout à fait à la psychologie enfantine.
 
La fin est une trouvaille d'une intensité rare. Elle cueille le spectateur à froid et en même temps reste dans la tonalité du récit qui la précède.
 
 
Un film qu'on ne peut pas rater parce qu'il est tout simplement authentique ! Donc, ALLEZ le VOIR !
 
 
 
 
 

 

 

Si vous voullez des preuves...
 



 
 





 
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samedi 15 septembre 2012

Mes démarches pour obtenir la nationalité Algérienne : nouvel épisode

Courrier adressé à Madame la Ministre de la francophonie, Monsieur le Ministre de l'intérieur
et Monsieur le Président de la république



Madame la Ministre,
 
J'espère que vous pourrez porter attention à ma réaction suite à votre passage à Alger.
 
Suite à l'article d'El Watan sur la venue de Yamina Benguigui en Algérie (http://www.elwatan.com//actualite/yamina-benguigui-le-voyage-de-francois-hollande-en-algerie-marquera-le-debut-d-une-nouvelle-ere-15-09-2012-185401_109.php?reagir=true), j'ai fait le commentaire qui suit.
 
"Je suis un Algérien Français ou si vous voulez un Pied noir progressiste (une association existe et permet d'écarter la connotation colonialiste du terme. C'est là : L'Association Nationale des Pieds Noirs Progressistes et leurs amis : http://www.anpnpa.org/)
 
Je milite pour des relations plus qu'apaisées entre mon pays l'Algérie et la France, à commencer par la libre circulation des personnes. Les conditions d'obtention des visas dans les consulats français sont une honte.
 
Je ne doute pas de la sincérité de Yasmina Benguigui dont j'apprécie le travail sur les documentaires. Je la crois authentique et je lui demande d'aller au bout et de préparer le terrain avec le Président Français pour aborder tous les problèmes. Y compris ceux liés aux moments les plus douloureux.
 
J'aimerais qu'un Pouvoir Français qui se dit de Gauche prenne en compte la demande de nombreuses personnes comme moi (http://dalgerie-djezair.viabloga.com) d'obtenir la nationalité de leur pays de naissance auquel ils ont été arrachés. Sur mon blog j'expose mes raisons et mes démarche : http://yahia-ksentina.blogspot.fr/p/mon-combat-pour-obtenir-la-nationalite.html
 
Peut-être que la Ministre en prendra connaissance et y portera réflexion. Ce qui est certain, c'est qu'avec le Pouvoir Algérien je me heurte à un mur d'indifférence. Mais je n'abandonnerai pas. J'ai fait part à la Presse Algérienne de cette question, dont El Watan, j'aurais apprécié qu'elle me réponde et en parle dans ses colonnes.
Salam"
 
Soyez assurée Madame la Ministre de mon profond resect républicain.
 
Jean-Michel Pascal

Une barre est franchie

Merci aux fidèles du Blog

La barre des 84 000 visites est franchie. Un grand merci à tous. Mais permettez-moi à cette occasion d'émettre un souhait : Utiliser le bouton "Aucun Commentaire" ou 1, 2, 3 commentaires" plus souvent (en bas des articles).

Ce blog a pour vocation de permettre la discussion. Saisissez l'ocassion.

Sinon, encore Merci, ahalek, sahitou, Atek Saha à tous.

A bientôt

En Hommage à Mohamed Boudiaf trop bref Président de l'Algérie.

Témoignage de Salim Serradj sur l’assassinat
de Mohamed Boudiaf le 29 juin 1992
 
Toujours sur le blog de Monsieur Badjadja. je publie ce lien en hommage au grand homme que fut Mohamed Boudiaf et qui gênait dans le payasage d'une Algétrie aux mains d'une caste militaire.
 
 
Fréquentez ce blog qui contient des petis trésors.

Constantine : 17 siècle en 2013 !

CONSTANTINE: 1700 ANS SOUS CE NOM
 
 
C'est le titre d'un article du Blog de A. Badjadja de Constantine qui fait une proposition fort juste pour célébrer cet anniversaire en 2013.
 
 
 
Qu'en pensez-vous et que pouvons-nous faire pour inciter les pouvoirs locaux à mettre sur pied quelquee chose de conséquent ? Outre ce blog et celui de Badjadja,
 
vous pouvez également participer à cette discussion sur les page FaceBook :
 
 
Merci de vos contributions

vendredi 17 août 2012

Du Blues, encore du Blues !

I've got the Blues

Où l'on peut voir et entendre les excellents participants de Chicago Blues : A Living History, avec John Primer, Billy Branch, Billy Boyd Arnold, Lurrie bell, Matthew Skoller, Billy Flynn, Felton Crews, Kenny "Beedy Eyes" Smith, Johny Iguana,
On retiendra la prestation de Sting et celle de Hugh Laurie.

 
Une vidéo de Julien Pascal



Catherine Ringer à la fête du Cognac le 26/07/2012

Un concert de feu où les Rita n'étaient pas loin !

jeudi 16 août 2012

Deux soirées magiques autour de Souad Massi

Avec Danielle et Ziane
Après des années de correspondance Internet, unis par l'adhésion au travail de Souad Massi, nous nous sommes (re)trouvés en Charente pour un Week-end fantastique. Il en reste des traces et notamment celle-ci, grâce à Danielle et Ziane que vous pouvez retrouver sur Zianeb (You Tube). Comme quoi la technologie permet aussi des moments de bonheur intense. Sachons les saisir ! Merci à Souad de nous avoir réunis.
 
 

mercredi 8 août 2012

Pantaroual inventé par deux artisanes constantinoises

Une originalité à part entière

le 03/12/2011 | 1:00

Elles sont toutes les deux architectes de formation et ont une autre passion en commun : celle du vêtement. Elles sont à la tête d’une petite entreprise baptisée Pantaroual.

Lors du Salon international de l’artisanat traditionnel qui s’est déroulé du 24 au 28 novembre dernier au palais des expositions à la Safex, à Alger, un stand a particulièrement interpellé les visiteurs. Il s’agit de Pantaroual, un nom qu’avaient choisi Asma et Salima, deux créatrices venues de Constantine pour nommer leur entreprise. Spécialisées dans la confection de «tenues algériennes», ces deux architectes de formation, que la vie professionnelle a réunies, ont fait de l’artisanat une autre source d’inspiration et d’aventure. Elles ont créé depuis une année leur propre entreprise de fabrication de vêtements. Le temps d’un week-end, elles laissent de côté leur vie d’architecte et se consacrent à leur passion. Ce projet n’est pas le fruit du hasard, mais l’importation massive et le dénigrement qu’ont les Algériens pour la production artisanale nationale les ont poussées à réfléchir sur la faisabilité de monter leur propre entreprise. C’est, justement, de là qu’est née la microsociété Pantaroual.

Un projet qui vise essentiellement à «mettre en valeur l’artisanat, lui-même étant un domaine de pure création», c’est du moins ce que déclare l’une des initiatrices Salima. Elle insiste également sur l’importance de créer un vêtement spécifique : «Nous nous basons dans nos modèles sur la diversité culturelle algérienne. Nous essayons à chaque fois de toucher au patrimoine national avec une touche de modernité», étaye-t-elle. Les modèles exposés, notamment ceux que portaient les deux hôtesses, ne pouvaient laisser les présents indifférents à leur charme. Des modèles inédits où la tradition se met au goût du jour. Ce ne sont pas des tenues traditionnelles comme on en découvre souvent, il s’agit là d’habits aussi originaux que confortables.

Des robes, des pantalons (seroual), des gilets et autres vêtements qu’on peut parfaitement porter en été comme en hiver et à toutes les occasions. Il existe des gammes pour des usages différents : pour la maison, les vacances ou encore les petites réceptions. Un travail soigné dont le but est de créer «un vêtement identitaire et spécifique à notre culture algérienne et à travers lequel toute femme peut afficher son appartenance et marquer sa présence sans complexe», explique-t-elle. Et d’ajouter : «Moi-même, je porte mes tenues en toute fierté quand je suis à l’étranger.» Les deux artisanes réalisent un modèle unique et exclusif. «On ne peut jamais tomber sur deux modèles identiques, c’est aussi ça l’avantage de l’artisanat, contrairement à l’industriel», témoigne Salima. Pour le choix des matières et des couleurs, les deux créatrices s’inspirent de leur état d’âme pour réaliser un quelconque modèle. «Un vêtement est beau par sa découpe, sa couleur et le choix des matières».

Les deux comparses et complices sont sensibles à toutes les couleurs et aux matières ayant des vertus climatologiques telles que le lin et le coton. Des textiles qu’on ne trouve pas facilement sur le marché algérien. Il est toutefois regrettable de ne pas pouvoir exploiter les tissus nobles dont regorge notre pays, notamment dans le Sud. Pour leurs projets futurs, Asma et Salima caressent le rêve d’ouvrir leur propre boutique dans leur ville natale, Constantine, devenant ainsi totalement indépendantes. Un espoir qui tarde à se réaliser faute de moyens, mais l’ambition reste toujours présente pour ces deux passionnées de couture.

 

Yasmine S.Z.

lundi 6 août 2012

Souad Massi au Festival Les Escales à Saint Nazaire le 04/08/2012

La Balance à 21 h 30
Le spectacle
Il manque la fin du spectacle. J'ai surestimé les capacités de stockage de mon I Phone...
Rabah avait la permission de s'absenter du spectacle pour accompagner une autre chanteuse Algérienne.
Jeff et le bassiste Guy N'Sangué se sont chargés de mettre le feu avec une Souad ravissante et déchaînée.

Saha à tous !